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    Demain c'est mon anniversaire. J'aurai 54 ans. Je suis du signe du Verseau, ascendant Sagittaire, et mon signe chinois c'est Cochon Sauvage (Sanglier). J'ai vu le jour à Grenoble (Isère) mais j'ai passé toute mon enfance et mon adolescence à Valence (Drôme).

     

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    Je suis sur cette photo, je vous laisse imaginer où. J'avais 11 ans.

     

    Puis direction Lyon pour y faire des études littéraires. A partir de 20 ans, de nombreux voyages à l'étranger : Grèce, Sicile, Maroc, Israël. Espagne, Italie, Suisse, Allemagne, Belgique. Le Danemark est mon dernier voyage en date.

    Mon premier poème j'ai dû l'écrire autour de 7 ans : j'y parlais d'une rose.

    Je n'aime pas : la campagne ; les roses blanches ; le marbre.

    J'aime : la mer, tous les animaux (sauf les blattes et les grosses araignées), les brocantes et la déco.

    J'ai pratiqué l'équitation jusqu'à l'obtention du 1er degré. J'ai fait beaucoup de cheval en Camargue, en nocturne, dans les pinèdes et en bord de mer.

    La fin de l'année 2012 et le début de l'année 2103 ont marqué l'éclosion d'une importante crise personnelle qui couvait depuis 2009. Je travaille beaucoup  sur moi-même. Des projets qui me tiennent à coeur devraient voir le jour d'ici la fin de cette année.

    Je vous donne rendez-vous au début du printemps pour une traversée de la Saône en vaporetto ; puis le 24 mars pour une balade loin de la région lyonnaise.

    J'espère que vous serez nombreux à me fêter mon anniversaire ;-) que je vais passer avec mon Félix entre des moelleux fourrés à l'orange et des gaufrettes enrobées de chocolat puisque il paraît que le mauvais cholestérol est la plus incroyable arnaque pharmaceutique du siècle.


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  • Ci-dessous le poème improvisé par Mistic à la lecture du mien Abîmes de l'âme. Une belle rencontre dans l'écriture : quand l'ego solitaire se trouve un écho.

     

    Filippino_Lippi_-_anjos_sala_degli_Otto_2-1.jpgLes abîmes de l'âme

    Insondables sans fond

    Abysses de nos drames

    Où se rient nos démons...

     

    Des ailes de lumière

    Pour en sortir un jour

    Plus un vent de colère

    Et une once d'amour...

     

    © 07.02.13 Mistic

     

     

    Détail de la fresque Madone et les saints (Madonna degli Otto) par Filippino Lippi (circa XVe siècle), Galerie des Offices.


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    En réponse à mon poème Ces mortelles au-dessus du tout, le Maître de Frimousse m'a écrit ces lignes auxquelles je trouve tout le charme de Maupassant, ne trouvez-vous pas ?

     

    vieille_femme_se_penchant_sur.jpgEdouard Vuillard - Vieille femme se penchant sur ...

     

    Cédulie, qui fait office de bedeau depuis la mort du bon vieux Joannès, vient d'allumer le vieux poêle.

    Le long tuyau rouillé qui traverse la nef de la petite église suffira-t-il à permettre une température de zéro lorsque les fidèles afflueront ?

    Le vin blanc ne gèlera pas, mais l'eau de la burette de gauche ?

    La vieille Cédulie reste collée au poêle. L'ayant éclairé, il est normal qu'elle profite en premier de sa chaleur, non ?

    La neige a cessé, dehors. Mais le froid est vif et le vent fort.

    Cela fait déjà dix minutes que l'Abbé Rousset a "sonné la messe" mais Cédulie est toujours seule dans l'église.

    L'enfant de choeur ne viendra pas. Trop froid.

    Les deux "mortelles au-dessus de tout" de Thaddée viendront-elles, elles dont la foi ne leur fait craindre ni la canicule ni la vague de froid ?


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