• leseditionslamadolire_collectif_mortsdentslames.jpg On l'attendait, voilà qu'il est arrivé. Le livre où j'aurais pu me voir apparaître... sous un pseudo inconnu des gens qui me connaissent. Et pour cause. Morts Dents Lames c'est un hommage littéraire à la violence. Un ouvrage, donc, à ne pas mettre entre toutes les mains.

    Question violence, ce que j'avais proposé comme texte n'était pas piqué des hannetons. Plus sadique, plus sanglant, y'a pas. Mais mon manuscrit n'ayant pas été sélectionné par les Éditions La Madolière je me réserve le droit de garder secret son contenu pour un usage ultérieur.

     

    Ce que dit l'éditeur de l'ouvrage collectif édition 2012 :

     

    Morts Dents Lames est une collection de textes sanglants, dérangeants, morbides et violents. Tout ce que la littérature lissée du moment n'offre plus aux lecteurs en mal de sensations fortes. Rangez vos couteaux et vos lames de rasoir, les auteurs de cette anthologie ont sorti les leurs pour vous découper des tranches de vies aux petits oignons. De l'inquisiteur pervers à l'anatomiste fou, du cannibale improbable au légiste pointilleux, de la fille innocente à l'adolescent complexé, la victime se cache parfois là où on ne l'attend pas. 19 nouvelles, 19 expériences de ce que la violence fait de mieux.

     

    19 textes sanglants, dérangeants, morbides et violents

    228 pages
    Éditeur : Les Éditions La Madolière
    Date de parution : Décembre 2012
    Genre : Contes et nouvelles

     

    NB - Tous les ouvrages de la Madolière (dont Morts Dents Lames) sont disponibles en lecture gratuite sur Youboox.fr


    6 commentaires
  • Mais cette écriture, à la relire, rouvre les plaies.


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  • ... ou comment briser ses chaînes

     

    Colombe.pngLa poésie, tout comme le roman, fait la part belle au fantasme. Je viens de retrouver des textes poétiques datant de 2009 que j'ai mis en ligne à la fin du blog. Ils mettent en scène un personnage : K. Cette personne existe. Mais est-elle ce que j'en dis ? - Moi-même je ne le sais pas. Je me suis inventé de toutes pièces une histoire avec elle. Une histoire en noir qui reproduit une histoire de mon enfance dont je doute, à certains moments, l'avoir réellement vécue.

    Souvenir, amnésie, fantasme... L'écriture brasse à l'infini tous les possibles, tous les peut-être, tous les "je ne sais pas mais je le dis quand même parce que j'y crois, parce que c'est une part de moi-même".

    L'écriture fait vivre ou revivre des zones d'ombre, elle éclaire à contre-jour d'obscures et sombres zones du cerveau.

    L'inconscient se dé-bâillonne. Auto-suggestion ? - Thérapie sans aucun doute. Depuis deux ans je me sens mieux.


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