• Après une bonne journée de travail, rien de tel pour se détendre que de se connecter au forum d'aide d'Overblog. Passons sur les messages vides, sur ceux qui ont perdu leur éditeur de texte, ceux qui tentent de "supprimer sans supprimer" leurs articles sur Overblog, qui veulent rendre leurs articles invisibles, qui pensent qu'en programmant leur publication pour dans 100 ans ils ne seront pas ou plus visibles ou qui posent des questions du genre : "que ça veu dire popups". A mon avis, la palme du post mdr revient à celui-là :

     

    Bonjour,
    Ma configuration:
    Vista: Édition Familiale Premium 64 Bits (6.0 version 6002)
    Firefox; 18.0.2
    Par avance merci.
    Cordialement.

     

    ... Ce qui revient à peu près à ça : "Bonjour, je me présente : Pierre Dupont, de nationalité française, 1,75m, 80kg. Par avance merci. Cordialement."

     

    Le forum d'Overblog va bientôt pouvoir rivaliser avec les annonces du Bon Coin.

     

    A noter que : ce soir je ne peux pas laisser de commentaires sur vos blogs. La spirobulle OB mouline sans fin. J'essaierai dans un moment de refaire un tour sur vos derniers articles, à défaut je viendrai commenter demain. Bonne soirée à tous.


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  • rouquin1.jpg

    Tout commence par une solide inspection du pantalon

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    Rhooo, ça sent bon le pantalon. Mais on dirait que ça sent le Félix ?

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    (Après plein de câlins comme il se doit) Viens avec moi, je vais te faire découvrir mon territoire

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    Tu vois j'aime bien regarder à gauche, et toi tu me regardes ?

    rouquin5.jpg

    Et je regarde aussi à droite, on ne sait jamais... Oh mais tu t'en vas ? Je peux aller avec toi ?

    - Non le chat tu ne viens pas avec moi, j'ai un Félix moi à la maison. Au-revoir le chat tu es très beau. Et merci pour les photos !

    → C'était l'histoire du chat roux qui habite "en montant vers le vieux Fort"


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  • Comme un moulin qu'a les ailes brisées l'église démolie bâille aux corneilles

    Mouds ton grain fanatique. Ton pain, c'est mon corps.

    Éructent les corbeaux dans l'enclos de la mort

    Je quitterai la terre.

     

    Il y a dans ma tête une moire violette. Une forge liquide avec cent mille enclumes.

    Une ancre porte ombrage à la croix.

    Je suis la créature aussi lisse qu'un fil. Si massive qu'avec moi l'océan file doux. Un jet d'eau me jaillit de l'échine. Phacochère.

    Un geyser me couronne la nuque.

    Et la nuit, mes flancs déblaient patiemment la galaxie d'écume. Je retourne la peau du bestial océan. Il y a dans mes yeux des chimies interdites, des lueurs d'alambic, d'impudentes chimères.

    Les étoiles s'éteignent.

    Elles envoient par le fond l'invincible vaisseau. La soute aux souvenirs. La cambuse et les vivres.

    Feues, sentinelles du ciel.

     

    Sorcelleries du grand abîme où je trace ma route, n'est-ce pas l'infidèle que j'écoute pleurer !?

    Plénitude.

    Et sur la grève nue des éboulis qui fument, l'église démolie mon église elle brûle.

    Pour l'avoir reniée.


    © 03.01.13 Catharsis, TS


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