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Amer
Mais voudras-tu me suivre Où je vais d'habitude
Autorités nocturnes Un effroi chauffe à blanc Les viscères le cerveau
J'ai des choses à te dire Sur mes us et coutumes
J'y peux rien que veux-tu C'est question de nature Et je vois dans "aimer" Une lettre de trop.
© TS 3 juin 2011 - Revu et corrigé les 1er et 2 juillet 2011 _____________________________
Mais voudras-tu me suivre Où je vais d'habitude Autorités nocturnes Un effroi chauffe à blanc Les viscères le cerveau J'ai des choses à te dire Sur mes us et coutumes Et les roses sont noires Où je vais d'habitude Aux alcôves du coeur Elles sont les barreaux. Ci-contre la première version du poème datant du 3 juin 2011.
Le titre en était "Et même si c'était non".
NB - Une version intermédiaire
proposait les deux derniers vers suivants :
"A trop être victime On devient le bourreau"
mais je tiquais sur "A trop être = A trop paître".
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Commentaires
2chrisSamedi 14 Décembre 2013 à 10:37bonsoir Thaddhée, ta poésie est un état d'esprit, un instantané , pas un moyen de communiquer mais de se libérer, ton style fait qu'elle est souvent égnigmatique, d'où aussi l'importance d'être lu par des yeux neufs pour en prendre sa quintessence, il est dommage de ne pas mettre l'original sur ce blog...à aimer pour moi il manque une lettre, un s, je sais c'est pas français et pour finir, à l'impossible nul n'est tenu...bisou et bonne fin de soirée à toi...
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Je ne crois pas, effectivement, que la littérature quelle qu'elle soit, soit un moyen de communication. Tout au plus peut-elle être un partage et c'est déjà pas mal. Là j'ai refait la fin. Peut-être serat-il intéressant de mettre les deux versions côte à côte. Merci pour ton passage et bonne fin de soirée Chris, à bientôt.