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Le sentiment du fer
Feintes d’automne et fumées de tilleul
Les papillons et les lanternes orange
Meurent.
J’ai de la corde blanche dans la peau.
Taudis ! c’est l’avenir de mon château
S’il reste seul.
J’ai ton fleuret qui me crève le cœur.
Est-ce pour ça que tu portes le deuil ?
TS-M
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Commentaires
Mais c'est complètement à côté de ce que je ressens, je ne m'y retrouve pas, je n'y retrouve rien de ce que je veux dire. Merci quand même de te faire l'avocat de ce triste essai Chris.
S'il y avait que les mots qui déraillaient mon pauvre Amaury... mais c'est une autre histoire.
Bonjour Mosca, mon amie,
Une fois encore, je me range à l'avis de Chris. Pourquoi dire avec d'autres mots, ce qui est déjà si bien dit avec les siens!
Les mots qui sortent de nous, quelquefois en dépit de notre volonté, peuvent-ils être effacés. Gommés de la page, peut-être, mais pas de nos coeur. S'ils ne veulent dire quelque chose que dans l'instant fugace où ils naissent et où nous les écrivons, c'est parce que, contre toute attente, ils ont leur importance.
J'ai été très occupée ma mouchette, mais je pense à toi très fort.
Bizzz
DGAR
Je pense qu'il y a des mots qui, parfois, souvent ? ne sont pas leur place et n'ont pas de sens. Je pense qu'il faut supprimer ces tas informes de mots qui ne veulent rien dire. Qu'il faut démonter ces montagnes de non-sens pour retrouver les mots, vierges, avec lesquels on pourra, le moment venu, dire ce qu'on ressent, dire ce qu'on veut dire, et le dire vraiment.
7chrisSamedi 14 Décembre 2013 à 10:40sommes nous les meilleurs juges de ce que l'on peut créer, écriture ou autres formes d'expressions, je ne le pense pas...avoir un oeil critique oui mais sans se juger... rien que l'image de la corde sous la peau est de la poésie...
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Mais qu'il est nul qu'il est nul ce poème, bientôt poubelle.