Bonsoir mon amie Thaddée,

Alors ça y est ! Plus qu'à espérer, cvomme d'habitude ! Je formule pour toi des voeux de réussite auprès de cet éditeur !

Merci de t'être servie de mon commentaire pour ton article. Ceci prouve que nous avons des tas de point communs !

Dans le 7ème rassemblement, j'exprime un peu de cette violence, de cette noirceur qui est en moi ! Certaines pages sont rudes au niveau des descriptions de torture ou de viol par exemple et je me suis quelquefois demandé, comme pour les scènes d'amour torrides, si c'était bien nécessaire, si ça passerait ! Si ça ne risquait pas de choquer. Si ce n'était pas juste  de l'étalage pour attirer le "client". Puis j'ai cessé de me poser ce genre de question, parce que j'ai pensé que si ça m'était venu comme ça, c'est parce que c'était nécessaire à mon récit bien sûr, mais surtout, parce que ça m'était nécessaire à moi !

Finalement, n'écrit on pas pour soi-même avant d'écrire pour les autres ?

C'est sur cette question que je vais aller me couler sous la couette ! Je suis fatiguée à force de tirer sur mes réserves de sommeil !Demain, c'est représentation complète(clowns, sculpture sur ballons, jeux pour les minots et ventriloquie ) Bon, la ventriloquie c'est mon  mari tout seul mais je traque quand il passe sur scène !

Bisous doux . DGAR

L'écriture est une soupape de sécurité. Mais d'autres fois, c'est un engrenage ! L'écriture est une possession dont on ne se défend pas. Quelquefois ça se passe bien, d'autres fois, mal. Mais au bout du compte c'est toujours constructeur. J'espère que vous vous sentez mieux aujourd'hui. Bonne soirée Columbo, merci pour votre visite, à bientôt.

Oh oui, tout à fait d'accord, on écrit d'abord pour soi. Et on écrit comme ça vient. Si, effectivement, viennent des scènes de torture et de viol, c'est qu'elles se sont imposées là. Tu vois, je me refuse, dans ce roman, à retrancher les scènes vraiment très violentes. Elles font partie du tissu romanesque. Si je les écartais du récit, il n'y aurait plus de récit. Je n'ai rien édulcoré en corrigeant le texte. Juste, j'ai rajouté des passages un peu plus légers (en apparence seulement car ce sont des passages-pivots) et puis j'ai glissé ma lueur d'espoir en fin de parcours, elle aussi s'imposait comme une nécessité.

Il me reste à le relire plusieurs fois pour que ne subsiste aucune erreur, aucune faute de frappe, aucune faiblesse de style. Et mon travail sera terminé.

Je t'embrasse très fort ma Mistic et te souhaite un très beau week-end (malgré la tempête qui fait rage vers chez toi) en tout cas un week-end plus reposant que le dernier ! DGAR

L'écriture est comme le sentier "montant, sablonneux, malaisé", sûrement plus encore, qui mène vers la lumière, sinon les ficelles n'auraient pas été tirées qui allument le Grand Interrupteur...

C'est beau ce que tu écris ! merci Orfée.

Bonsoir Thaddée,

A ton côté obscur, ton écriture correspond petit Jedi.

Bravo, pour avoir réussi à mettre un point final à ton roman.

Bonne soirée.... finale,

Bises.

L'écriture est un moyen qua trouvé notre corps pour se délester de tout ce qui se bouscule dans notre tête. Nous avons tous une certaine violance en nous, plus ou moins bien canalisée alors l'écriture est un moyen de s'en débarrasser, de se rendre plus légère.

Bisous

Violette

Oh, il est super sympa ton commentaire, merci Laurent !

C'est ça... Si on n'écrivait pas, comment serait-on !? Bisou Violette, merci pour ta visite, passe un bon week-end (sous la neige chez moi, c'est prévu).

Bonjour Columbo, je ne me plains pas, mon blog est pas mal visité, pas mal commenté aussi, et par des gens qui ont du répondant ;-) L'écriture, oui, demande beaucoup de concentration, c'est pour ça qu'il faut faire le vide en soi pour vraiment pouvoir s'atteler à la tâche. Les conditions dans lesquelles on écrit sont très importantes. Moi par exemple je ne pourrais pas écrire de roman à l'extérieur de chez moi. Il me faut être à mon bureau, impérativement. Il faut aussi qu'en moi, il y ait toute la place pour l'histoire que j'écris. Des coups durs, dans ma vie, ont fait que j'ai interrompu brutalement l'écriture de certains romans qui n'ont jamais trouvé leur fin. Il faut se préserver pour écrire. Et pourtant, paradoxe intéressant, aussi calme que je sois, même avec du temps devant moi, j'écris toujours en état d'urgence, comme si quelque chose de terrible et d'imminent allait me détourner de mon livre.

Je vous souhaite un très bon week-end, à bientôt Columbo !

Bonsoir,

Merci pour votre commentaire et aussi pour votre appréciation de mon travail photographique, et cela d'autant plus que le fait d'avoir fait pas mal de kilomètres en vélo ne m'a pas arrangé la santé, j'ai à nouveau mal et en plus ce soir j'ai de la fièvre à 38.5, mais bon j'espère que ce n'est pas du à mes problèmes urinaires, mais bon je verrais ça en fonction de l'efficacité ou pas du comprimé d'Actifed que j'ai pris. Autrement j'espère que vous allez bien ainsi que votre moral. Au travers de la lecture de vos article, je crois comprendre que l'écriture est pour vous en plus d'une passion également une forme d'aide dans la vie quotidienne, et je dois dire que dans cette société qui s'enfonce chaque jour de plus en plus dans l'absurde et plus exactement dans le manque d'humanité, eh bien il n'est pas toujours facile de garder le moral c'est le moins que l'on puisse dire! Je vous souhaite une bonne fin de soirée ainsi qu'une bonne nuit, et merci pour votre sincère et fidèle amitié.

Bonsoir,

Merci pour votre commentaire. Merci d'apprécier mon travail photographique! Ce n'est pas facile du tout à faire les photos de nuit, j'ai du aller deux fois sur ses lieux pour faire mes photos, et malgré mes douleurs, je ne regrette pas d'avoir fait des kilomètres en vélo! J'espère que vous allez bien ainsi que votre moral. Je vous souhaite une bonne nuit ainsi qu'une bonne journée de demain, et vraiment merci pour votre fidélité, j'aimerais bien que vous ayez plus de correspondantes car vous vous donnez du mal pour faire votre blog c'est du travail aussi la littérature et ça demande pas mal de concentration.