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    9 décembre 2011 - "Grandis en confiance." (Calendrier de l'Avent)


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    Il est bien loin le temps du 8 décembre, le temps des Illuminations, le temps des lumignons, le temps où l'on montait à la Basilique de Fourvière, à la lueur des flambeaux, célébrer Marie dont c'est la fête.

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    Est venu le temps des 8-9-10-11 décembre, le temps de la Fête des Lumières, le temps des spectacles pyrotechniques avec effets sonores, le temps des touristes venus du monde entier s'en mettre plein les yeux.

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    C'est le temps des foules denses, le temps des marrons chauds, des ballons de toutes les couleurs, des pères Noël vrais et faux, des gens déguisés en bonshommes de neige, en rennes, en lutins, en danseuses aux sept voiles, c'est le temps des pickpockets, des cuites et de la casse.

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    C'est le temps des visions féeriques, sans trucage, ce petit bonhomme dans son ballon sera le porte-parole de mes Illuminations à moi qui se sont arrêtées sur lui, ce soir, parce que je ne supporte pas la foule et que je préférais rentrer au chaud. 8 décembre 2011 - "Bonne fête Marie, tu es bénie par le Seigneur." (Calendrier de l'Avent)


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    7 décembre 2011 - "Prenons soin les uns des autres." (Calendrier de l'Avent)

     

    Bonsoir tous. Après une inspection en règle de son blog (je plaisante) j'ai répondu à l'invitation du Télégraphe en m'inscrivant dans sa communauté Eurêka ! J'avertis... que je n'irai pas au-delà des trois communautés auxquelles est attaché mon blog : Kryptô, la communauté que j'ai créée, Prièmes la communauté d'Orfée, Eurêka ! la communauté du Télégraphe.

    temps d'écritureMon roman avance bien. Moins vite que ce que je voudrais mais il prend forme au fil des jours. J'ai trouvé le titre. Il reste beaucoup à faire mais je ne m'inquiète plus guère des dates : s'il est prêt pour le 31 décembre tant mieux. S'il ne l'est pas tant pis. Cette échéance du 31 décembre 2011, comme une épée de Damoclès suspendue au-dessus de ma tête, m'aura au moins permis de reprendre un roman laissé de côté pour le mettre, enfin, au net. C'est un exercice auquel j'ai du mal à me plier parce que je n'aime guère me relire et contempler mes faiblesses de style et de syntaxe. Et que c'est un casse-tête de corriger un manuscrit. Comme je l'expliquais tout à l'heure à quelqu'un : je garde intact le gros du texte, préservant le style du premier jet qui remonte à 2 ans. Je me contente de réécrire les passages que je juge insatisfaisants. Ce n'est pas un travail ingrat : au contraire c'est un vrai plaisircanapé de me frotter à nouveau à l'écriture romanesque, à ce texte hérissé de piques. Mais c'est un travail épuisant, et j'ai bien de la peine à mener de front les tâches du quotidien, l'écriture, et mon boulot. Je m'accroche en me disant que c'est l'affaire de 3 semaines tout au plus. Au terme desquelles... je pourrai enfin souffler.


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