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Tout d'abord je voudrais remercier toutes les personnes qui s'inscrivent à la newsletter, ça me fait toujours plaisir de savoir qu'on suit de près mes publications.
Pour le reste... je suis un peu en rogne contre OB qui me fait perdre un temps fou : difficile de prévisualiser, difficile d'enregistrer des brouillons, corrections non prises en compte, retards de publication, etc. En outre, OB n'a toujours pas rectifié son erreur sur ma page profil : j'arbore encore la page d'accueil d'un site de prix comparatifs pour locations de vacances. Ce n'est pas très perturbateur, mais tout de même j'aimerais que ma page de profil soit représentative ce que je fais, et ne reste pas plus longtemps la vitrine de quelqu'un d'autre. J'attends depuis quinze jours environ que le problème soit résolu.
Pour l'arbre à chat : je l'ai monté mercredi en fin d'après-midi. Il m'a fallu environ 1 heure 1/2 pour assembler toutes les pièces et c'est au final une très belle installation, d'une superbe couleur sombre et moirée. Laquelle n'est pas très bien rendue sur les photos par manque de lumière.
Très bel arbre seulement voilà : vous n'y verrez pas le chat. Pas très convaincu du bien fondé d'un tel achat le Félix. Il cherche à choper la souris sans mettre une patte sur la plateforme. Il était bien plus emballé par le carton géant ! J'espère réussir à le persuader que ce gros jouet est pour lui, qu'il peut y faire ses griffes et grimper dessus. L'espoir fait vivre.
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L'âpreté de mes propos du titre en particulier s'explique par mon évocation dans ce texte poétique d'un très vague et très mauvais souvenir lequel, fort heureusement, n'est plus aussi présent dans ma vie que fut un temps. Le problème c'est qu'en écrivant ce mauvais souvenir ne manque pas de revenir à la charge. Toujours.
Mes attaches ont rompu sans que je sache trop ni pourquoi ni comment
Je tirais par à-coups sur l'entrave mentale qui retient de partir
L'attaquant au couteau je n'obtenais rien d'autre qu'un rictus du bourreau
Par Sainte Fatima je décrète aujourd'hui que nos liens sont caducs
Ils sont tombés tout seuls du poteau de torture où je me débattais
Écoute ce matin les soupirs haletants de ta fière victime
La sève de la vie dissout les fils de lame elle me ressuscite
Sur ma peau se dessèchent les sueurs enfiévrées du vicieux anonyme
Je suis libre à présent de te tendre la main comme font les cyniques
Essaie de la serrer j'aurai tourné le dos sans le moindre regret.
© TS 2012
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