Les commentaires et les visites se raréfiant à vue d'oeil, je suspens la publication de mes poèmes jusqu'à ce que le blog retrouve un taux de fréquentation plus élevé. Pour autant, je n'arrêterai pas de rédiger des articles. La nouvelle plateforme d'Overblog donnant matière à réfléchir.

En fait je n'avais pas compris que la nouvelle plateforme ne remplacerait pas la plateforme actuelle : il s'agit d'une autre plateforme OB, complètement différente de celle que nous connaissons. Et c'est à nous, blogueurs, que reviendra le choix de transférer ou non nos blogs sur la toute nouvelle plateforme quand OB nous aura donné le feu vert.

Nouvelle plateforme sur laquelle j'ai réussi à m'introduire en créant un nouveau blog sous une autre adresse e-mail. Malheureusement je n'ai pu qu'y jeter un coup d'oeil furtif : mon adresse e-mail n'ayant pas été validée (ce n'est pas la première fois que je rencontre ce problème, alors que toutes mes adresses de messagerie sont valides). Je n'ai donc pas pu explorer les nouveaux thèmes tant attendus.

Ce que je peux en dire toutefois, c'est que cette nouvelle plateforme favorise et privilégie la fusion du blog avec les réseaux sociaux. Quant au tableau de bord, c'est une révolution : rien à voir avec ce que nous connaissons ici sur OB.

Voilà. Je ne peux guère en dire plus, n'ayant pas eu le droit de m'aventurer plus avant dans les méandres du tout nouvel Overblog. Je reste un peu sur ma faim bien sûr. Mais surtout, cette petite visite clandestine autant qu'avortée m'a permis de me poser la question, à savoir : est-ce que je tiens tant que ça à basculer mon blog sur la toute nouvelle plateforme ? Mes échanges actuels avec Twitter me suffisent amplement, je ne voudrais pas tomber dans le cercle vicieux des accoutumances addictives aux réseaux sociaux de tout crin. Moi, je veux faire du contenu, du contenu personnel autant que possible, et ne pas m'égarer dans des pseudo-débats totalement artificiels et stériles. L'option : "billet-flash" (sans titre obligatoire), qui permet de balancer un mini-message à partir de son i-pad ou de je ne sais où, très peu pour moi : c'est du micro-blogging, ça revient à faire ce que je fais déjà sur Twitter pour m'amuser, je ne tiens pas particulièrement à y passer mes journées, d'autant plus que je n'ai pas d'i-pad.

Nonobstant, saluons notre hébergeur Overblog qui, pendant plus d'un an, a travaillé sur ce projet de grande envergure, lequel devrait porter ses fruits, c'est ce que nous lui souhaitons. Et quand tout aura été parfaitement mis au point, et qu'ils pourront enfin souffler et savourer les fruits de leurs efforts, alors ils pourront prendre quelques minutes sur leur temps personnel pour rectifier leur erreur sur ma page de profil. C'est du moins ce que j'espère.

Puisque vous avez bien aimé la photo de l'aqueduc romain publiée dans la journée d'hier, je vous en remets d'autres. Les vestiges d'aqueduc (ci-dessus) se trouvent dans une rue étroite de Saint-Just, Lyon 5ème, en face de ceux que vous pouvez revoir ci-dessous.

Il y a beaucoup de ces ruines dans l'Ouest lyonnais : Sainte-Foy-lès-Lyon, Chaponost, Saint-Just... Loin d'être considérées comme des pièces de musée (on en a démoli quelques unes, sans scrupule, pour faire passer des routes ) elles s'intègrent directement dans le paysage urbain moderne, servant bien souvent de piliers aux portails de villas.

Cet aqueduc s'appelle : l'aqueduc du Gier, ou aqueduc du Mont Pilat. Par chez nous, dans l'Ouest Lyonnais, on dit : les aqueducs de Beaunant.

Voir aussi mon article : vestiges d'aqueduc romain.

L'aqueduc sous la neige, Sainte-Foy Village, décembre 2010

Sainte-Foy-lès-Lyon, septembre 2008

Sainte-Foy-lès-Lyon, vers le Vieux Fort, janvier 2012

Sainte-Foy-lès-Lyon, vers le Vieux Fort, novembre 2011